Samstag, 20. April 2019

Thrasybulos Georgiades



Suche nach einer Konzertreise von Frau Speckner -Georgiades im Sommer 1944 und einem Besuch oder einer Einladung, ausgesprochen von Siegfried O.Fath,  Sonderbeauftragter in Privatdiensten des Herrn von Graevenitz, deutsche Botschaft Athen -  bei Siegfried Faths Mutter, Mathilde Fath, Freiburg, Neumattenstrasse.

Donnerstag, 11. April 2019

En remerciant Dominique Pradelle

La semaine dernière j’ai eu la possibilité d‘assister à une séance de l‘atelier de traduction des Mansucripts C. Husserl

Et j’en remercie profondément Mr Pradelle de m‘avoir accepté

Car j’essaie de comprendre
Une relation qui implique Moritz Löwi et Husserl
Hönigswald

Ainsi j’essaie de comprendre quelques notes de mon grandpère Wolfgang Ritzel
qui avait assisté WS 1933/34 probablement été 1934   à Breslau à un séminaire de Moritz Löwi.
En 1980 WR publia un livre (Philosophie und Pädagogik im 20.Jahrhundert“
dans lequel il écrit: Andererseits war er, Löwi, auch mit den Gedankengängen Husserls vertraut, die erst nach seinen eigenen „Grundbegriffen“ unter dem Titel „Die Krisis der europäische Wissenschaften und die Transzendentale Phänomenologie“ veröffentlicht worden sind.“  ...
Seine Definition des Anschauungsunterrichts als eines Vermittelns von Beziehungen „mit Hilfe von Wahrnehmbaren“ hat Anwendung auch auf die Geometrie, in der der Raum als Prinzip und als Datum erkannt wird, dh als Prinzip gedacht und als Datum wahrgenommen.
Niveaulos – schien es dem Hö
nigswaldkenner. Die Vorläufigkeit des ersten Beitrags stellt sich heraus, als Löwi die höhere Argumentationsebene betritt …“

Ce que je traduis par:
Sa définition de l‘enseignement explicite comme une transmission des rapports „avec l‘aide de ce qui est perceptible“ - cette définition trouve son application également dans la géometrie, dans laquelle l‘espace sert comme principe et est reconnu comme date, ce qui veut signifier pensée comme principe et perçu comme 
date. Médiocre – a cru devoir constater le connaisseur d‘Hönigswald. Le caractère provisoire de cette première contribution sera évidente, au moment où Löwi aborde le niveau supérieur de l‘argumentation.”


Le problème c’est que  cet résumé parait comme  étant une recapitulation approfondie (et établie longtemps après ) des idées de Löwi comparées aux pensées husserliennes. Or il me semble tout aussi possible que dans ses mots se cache une description précise de la lecture de Wolfgnag Ritzel par rapport à Löwi. (Et de Husserl).

Le problème  c’est l’utilisation du mot “Datum“ utilisé par Wolfgang Ritzel pour faire la description du concept d’une méthodologie (?)  pédagogique chez Löwi et qu’il le met en relation avec Husserl.
Or ceci m'avait renvoyé à Hermann Ritzel qui utilisait le mot "Temporaldaten"  d’une manière plus superficielle comparé avec Husserl, dans ses „Vorlesungen zum inneren Zeitbewusstsein“, édité par Martin Heidegger 1928
(Il paraît que Hermann Ritzel eut quitté – après une sorte de dispute avec Pfänder - les cercles universitaires munichoises - autour de 1904/05 jusqu'en 1912 avant de produire deux texte pour sa thèse.)


  


La traduction bien avancée de l’atelier de traduction était arrivée au texte n°97.
Peut-être fallait-il dire que ce n’était pas trés facile d’arriver dans la salle située 24, rue Lhormond. Un vrai labyrinth et le gardien avec des yeux grand ouvert ailleurs,
puis un labyrinth temporal – pour un être comme moi, aussi étrangère que possible à la vie universitaire - connaître et respecter les horaires d’un séminaire est une aventure aussi merveilleuse que piloter mon bateau vers le maelstrom just avant la fin du monde.

Et puis…j’ai pris peur.
Le texte N° 97 n’étant pas exactement la matière dont je raffole le plus.
Plus précisément Husserl et Fink abordent – pour moi, déjà – grosse erreur, car c'est Husserl tout seul qui en est l'auteur et non pas les deux...


Vous voyez :mine de rien, à peine installée, je me bat contre moi-même, mes idées préconçues, mes vieilles habitualités, et très vite en plus je bat contre mon outre-monde, celui qui m’insulte en permanence, qui ne veut pas être là, et qui ne veut surtout pas que je compare Hönigswald à Husserl. ET mon outre-tombe a bien évidemment raison, il n'y a aucune raison de vouloir comparer la méthode d'Hönigswald à Husserl et surtout pas en 1938.

Mais la philosophie n’est pas philosophie si elle n‘essaie pas d‘affronter ses peurs.

Et Mr Pradelle qui gentiment parlait de Vergés lors du procés Barbie
Probablement j’aI du faire une tête horrible que de grimaces dignes d’un Breughel
 pendant que j’essaie de saisir au vif, au vol la traduction française qui était lu rapidement car devant les yeux de tout le monde sauf les miens.

La monade.
Peut-être à ma défense je pourrait dire, qu'ayant en tête la monas Hönigswaldienne
L’index de mon grand-père qui pointe vers Leibniz -

Et moi toujours en train de voir si je pourrais extirper d’une lecture d’une compréhension un plan d’action.
Comme si …comme si je pouvais dire ce que quelqu’un a fait ..pendant 1933 – 1938… si je sait exactement ce qu’il a lu et pu penser de sa lecture.
Et “action” ici dans mon contexte n’a rien à voir avec l'“acte” chez Husserl ni chez Fink.

J’essaie aussi de faire la différence entre une concept/ualistaion de “l'habitualité" comme elle a pu être établie par M.Theunissen
Et de ma comprehension de la négativité transcendentale chez Sartre
qui pourrait me permettre d‘approcher un peu plus l’hypocrisie, la médisance, la brutalité 
Don’t je besoin pour faire la description de mon actualité realité philosophique
et dans la reconstruction des années 1933-1949
et dans la description de ma réalité personnelle ici à Freiburg et d‘aujourd’hui.
J‘en ai très sincèrement besoin de pourvoir dire nommer décrire ce que pourrait paraître comme une habitualité morte ou passée ou simplement destructive.

Affronter ma peur n‘est pas un mouvement très philosophique.
Et chez Michel Theunissen on parlait beaucoup d'un problème identitaire...verzweifelt nicht sich selbst sein wollen....
Et en plus mon outre-monde qui était trés faché, a tenté de bien ruiner mes nuits en me disant très amèrement qu’il était bien évidemment bien mort - n’a qu’à se taire.
Au moins j’ai trouvé par cette deviation un très intéressant livre sur Couturat, que je ne connaissais pas du tout.